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Le Seigneur des Anneaux / Re : Réflexion sur le bien/mal et livre/film
« le: 20 mars, 2006, 18:12:54 »
Je vais faire en plusieurs temps d'abord recopier ce que j'avais déjà fait puis commenté ce que vous avez dit.
Tout d'abord, le film présente une vision simple du bien et du mal comme 2 camps parfaitement et rien d'autre autour. D'un coté, nous avons Sauron & compagnie (orcs, Saroumane et Gollum ne l'oublions pas etc) et d'un autre les gentils Aragorn & compagnie Frodon et tous les autres.
Petite interlude, Gollum est pour moi dans le film dans le camp des méchants puisque il cherche à avoir l'anneau pour lui donc participe à la renaissance du mal.
Le livre nous délivre une toute autre. Nous avons déjà trois "gros" camps qui travaillent pour différents buts : Les gentils, Saroumane et Sauron, plus un pion au milieu Gollum.
Pour compléter ce qui est déjà une vision manichéenne du film, on peut prendre l'exemple de Frodon. A la fin du film, il se "repentit" de son erreur d'avoir voulu prendre l'anneau pour lui en combattant Gollum. Il reste donc à la fin du film, une note positive sur Frodon. Un homme de bien sera dans le film toujours un homme de bien même après quelques écarts. On peut prendre aussi l'exemple de Boromir.
De même pour le mal, quelle fin pour Gollum, celle d'être toujours malfaisant. Chose contraire au livre, grâce à l'action de Gollum, l'anneau est détruit.
Ces deux paragraphes, je pense contribue à une vision manichéenne du film, ce qui n'est pas le cas dans le livre. Le libre arbitre est prédominant, et seule la voie choisie déterminera la voie suivie.
Tout d'abord, le film présente une vision simple du bien et du mal comme 2 camps parfaitement et rien d'autre autour. D'un coté, nous avons Sauron & compagnie (orcs, Saroumane et Gollum ne l'oublions pas etc) et d'un autre les gentils Aragorn & compagnie Frodon et tous les autres.
Petite interlude, Gollum est pour moi dans le film dans le camp des méchants puisque il cherche à avoir l'anneau pour lui donc participe à la renaissance du mal.
Le livre nous délivre une toute autre. Nous avons déjà trois "gros" camps qui travaillent pour différents buts : Les gentils, Saroumane et Sauron, plus un pion au milieu Gollum.
Pour compléter ce qui est déjà une vision manichéenne du film, on peut prendre l'exemple de Frodon. A la fin du film, il se "repentit" de son erreur d'avoir voulu prendre l'anneau pour lui en combattant Gollum. Il reste donc à la fin du film, une note positive sur Frodon. Un homme de bien sera dans le film toujours un homme de bien même après quelques écarts. On peut prendre aussi l'exemple de Boromir.
De même pour le mal, quelle fin pour Gollum, celle d'être toujours malfaisant. Chose contraire au livre, grâce à l'action de Gollum, l'anneau est détruit.
Ces deux paragraphes, je pense contribue à une vision manichéenne du film, ce qui n'est pas le cas dans le livre. Le libre arbitre est prédominant, et seule la voie choisie déterminera la voie suivie.