Comment peut-on faire un lien ici entre l’atmosphère extérieure et l’état d’esprit de la compagnie ? ( eh oui encore ! )— Ben ! Imaginez que vous êtes enfermé dans le noir obscur et sombre, sans savoir quand vous attaquera un méchant dragon ?! C'est exactement ce que rend la description de Tolkien : un groupe de proies sujets à une perte de toute notion de temps...
— Un peu plus loin, un peu plus tard, ils se décident à envoyer le tit Bilbo en reconnaissance. ( mais ils veulent vraiment qu'il se fasse manger à leur place, ce tit bonhomme ). Bon, on ne leur reporchera pas tout à fait leur coaurdise, car quand ils sentent Bilbo en danger, ils y vont quand même, au risque de se faire couper en 4....
— La description de l'atmosphère intérieure est terriblement sombre et sans lumière, à mettre en relation avec la perte de temps. C'est teriblement angoissant ! On ne sait ce que prépare Smaug, et l'ignorance est parfois encore pire que de savoir le danger qui guette, tapi dans l'ombre, ici ou là..
— j'en viens au vif de la question... Enfin, nos nains sortent, et c'est toujours le même paysage monotone ! Rien à l'horizon, pas de trace du dragon ! je ne voudrais pas être à leur place car c'est le genre de situation qui me fait trembler...
En quoi peut-on dire à présent, que Bilbo a achevée sa quête ?— Sur le contrat, Bilbo a bien rempli sa part du contrat : Les Nains ont récupéré leur trésor, même s'ils ne le savant pas encore vraiment ! Ou en tout ca, ils peuvent se réjouir d'avoir récuperer autant avec un tel adversaire...
Si le dragon est toujours là, ils feraient mieux de partir sans demander leur reste...
— Techniquement, les nains ne vont pas se contenter de ce peu-là, par rapport à leur héritage. Et Bilbo ne va certainement pas les abandonner à leur sort.
— Intérieurement, je crois que Bilbo a rempli sa quête. Il a ffronté ses pires peurs, en affrontant sa terreur du dragon, et je crosi que c'est un vériatble héros, now.. En tout cas, je ne pense pas que son côté aventurier se préoccupe beaucoup de l'argent ou du trésor, c'est bien l'envie de se dépasser, de montrer qu'il n'esp as un simple hobbit, le goût de l'aventure qui l'ont amené jusque là. pas un bête tas d'or.
A quels autres joyaux l’Arkenstone vous fait-elle penser ? Comment expliquez vous l’importance des bijoux et gemmes, qui projettent tous de la lumière ou ont un pouvoir tout particulier, dans l’univers de Tolkien ?
— Les Silmarils. C'est tout de suite ce qui me vient à l'esprit dan les gemmes cités par Tolkien.
— Les gemmes qui projettent de la lumière sont peut-être un symbole de ce qui rare et pur ? Généralement, ne voit-on pas les bijoux comme un symbole de pureté ?
En quoi ce passage illustre t-il les différences fondamentales entre les Nains et les Hobbits ? Qu’est ce que cela annonce pour la suite de l’histoire, en particulier à propos de l’Arkenstone — Les nains sont attirés par l'argent, ça les rend joyeux et braves ! pitetre un peu trop insouciants... Cet amour de l'argent, des choses matérielles, cela renvoie à leur origine : leur création et éducation par Aulë, qui aime tant les choses de la terre dont on peut tirer des objets, des gemmes... des choses jolies et/ou utiles..
— Le hobbit est pragmatique et cherche surtout une sortie. Quand il tombe sur l'Arkenstone, je crois que c'est son côté 'pie voleuse' qui ressort. Il ne se doute pas vraiment de son importance même s'il la pressent. Mais il est attiré, envoûté par son côté lumineux.
— Bien sûr, on se doute que l'Arkenstone ne sera pas le lot du Hobbit, et qu'il va y'avoir des problèmes du fait de cette acquisition non déclarée...
Comment interprétez vous le brusque changement d’attitude de Thorïn qui à la sortie de la Montagne alors qu’il venait d’avoir le spectacle de la désolation de son palais, riait, “ commençait à retrouver son entrain et agitait les pierres précieuses dans ses poches “ ?Ben, je pense qu'il est assez confiant et que la vue du trésor l'a enhardi. Et puis, où il est ce terrible dragon ? Il n'y a finalement que Bilbo qui l'ait vraiment vu et affronté, même si ce n'était pas un combat avec une grosse épée et un bon coup dans le poitrail. Je trouve que c'était déjà très courageux de sa part.... mais Thorïn et ses nains ne l'ont pas vraiment approché, et ils sous-estiment pitetre leur adversaire. Et puis, un nain qui n'a pas vu de trésor est qqn de normal. Par contre, un nain gagné par la fièvre de l'or est qqn de plus méchant, plus terrible au besoin !!!
La description des salles et des escaliers du palais des Nains ne vous rappelle t-elle pas un autre lieu évoqué dans les oeuvres de Tolkien ?Cavenain. Si qqn veut expliquer pkoi, ce serait pas mal...
On fait allusion dans ce chapitre au Cram, un biscuit élaboré par les Hommes du Lac sans saveur mais qui redonne des forces, doit-on y voir la première version du Lembas ?—Probablement. a noter que parmi tous les comestibles que pouvaient emporter les aventuriers dans l'oeuvre de Tolkien, on retrouve du pain de voyage. Il aurait pu y'avoir des viandes séchées, ce genre de choses... mais on retrouve encore ce pain de voyage, qui doit varier d'un peuple à l'autre.
Je ne suis plus vraiment sûr, mais il me semble que Beorn aussi avait donné du pain de route ( plus apparenté au pain d'épices.. )
— Historiquement, cela me fait penser à ce
pain de guerre des soldats, pain biscuité, un peu plus cuit, moins levé, et de forme plate et rectangulaire qui était utilisé en extrême nécessité, sur ordre du commandement uniquement et qui se conservait très longtemps au besoin.
Dès que le pain a été inventé par l'Homme, on remarque aussi qu'il a essayé de l'agrémenter par l'emploi de divers grains et aromates, ce qui a donné le pain d'épices. Fort nourrissant, cela me rappelle un peu le pain de route. de plus, les pains d'épice sont réputés pour leurs grande conservation... ( mais mais c pitetre plus la version Beornide du pain de route.

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