Et j'adore Apolinnaire:"Le Rhin, le Rhin est ivre où se mirent les vignes...ces fées aux cheveux verts qui incantent l'été..."
Les Rhénanes ? C'est en effet une belle composition où fugure notamment la Lorelei, référence à la sirène du Rhin qui faisait d'amour mourir les matelots imprudents... Bien que la version d'Apolinnaire soit plus belle, plus tragique, mais si... :wub:
A rien évidemment, c'est bien ça qui fait la caractéristique du poête et donne son essence à la poésie et à l'art en général. Et bien bas serons nous tombés lorsque la poésie servira à quelquechose.
Ma foi si ! Il y'a la sublimation du désir d'après Freud. En gros, le poète ou l'artiste va créer pour sublimer des pulsions. Malheureusement, ça casse la poésie de l'art quand on dit ça.... On a l'impression que le poète est frustré, ce qui n'est pas toutà fait exact.
Les quatre vers du deusième vers sont l'image que je voulais vous faire voir et je suis navré mais votre considération est quelque peu faussée Gandalf et Tolltelyn, un poète ne pense pas à une fille.
Oui mais quand tu nous fais un poème sur la poésie, tu parles direct de filles... donc, de là à faire le pas que pour
toi poésie -> fille, il n'y a pas bcp à faire.
Tu as raison Gandalf mais tu aurais du lire mon deuxième vers avec plus d'attention.
Justement tu parles encore de filles... Que tu parles d'une muse, je veux bien, mais dans ce cas, tu évoques encore une fille....
Celle ci se lie aux rêves d'une quête du parfait. La femme a un corps mais aussi un coeur qui font d'elle un être parfait.
Encore ?! Je sens qu'on va te psychanalyser, toi...
Tu connais mal les femmes, toi ! hihi... Les femmes ont un coeur parfait ? Mais ce sont des êtres sensibles, certes, et donc faillibles et c'est justement cela la beauté d'une femme : son imperfection, sa fragilité, sa sensibilité. Mais ce n'est pas une règle universelle, il y'a autant de sortes de femmes, que de sortes de fleurs : de la délicate à la carnivore.... C'est comme pour les hommes.
Fais attention à ne pas mettre la femme sur un piédestal, ou tu finiras comme Faust, mon ami !
Ecrire un poème c’est ouvrir à ses lecteurs une porte sur notre cœur...
Tu as subliminer ma pensée, ô jeune apprentie. La padawane a dit vrai. Ou une partie de la vérité...
PPS : Gandalf, admire un peu ma retenue face à cette provocation qui me fait dresser les cheveux en l'air !
C'est bien, fils ! N'oublie pas d'apprendre les psaumes de David pour la messe de Dimanche.
Mais il n'y a pas provocation, juste le délire phantasmatico-psychédélique du poète Dalian qui s'intérogge sur la quête profonde et universelle de la relation moi-surmoi, et de la sublimation des pulsions refoulées de ses rêveries éthyliques et hypochondriale par la pensée hyperbolique et sinusoidale exprimant le conflit moi-surmoi à travers l'art.
Cela fera 100 euros pour la séance. N'oubliez pas de prendre un petit antidépresseur type benzodiazépine et un peu de soupe à maman avant le dodo...
Ah pardon...je pensais que tu étais au courant que j'étais névrosé.
Je m'excuse alors qu'on se fout de ma gueule tu vas ptet quand même pas me dire que je pourris ton sujet, hein y a des limites quand même.
J'ai répondu en haut et je l'ai fait avancer ton sujet, est-ce le fait que je ne sois pas d'accord avec dalian qui te choque tant ?
Ah oui et au passage, la poésie ce n'est pas que "douceur" et "rêve" et les poêtes étaient pas tous doux et rêveurs mais vive les clichés quand même !
Allez sans rancune, je vais prendre ma dose d'anti-dépresseur là, à la prochaine (sur un autre topic t'inquiète pas).
Bon ben voilà, tu suis le traitement indiqué ci-avant et ça ira mieux. J'étais prêt à parier que le sujet allait dégénérer. Pourtant y'avait ni Bush, ni Peter Jackson....
Evite quand même certaines expressions fort populaires qui messied fort à ce topic. Merci d'avance.
Et pis, te plains pas : t'as un mot gentil d'eldhiril.