Ce qui est étonnant dans cet ouvrage, justement, c'est qu'il y a en parallèle plusieurs grands thèmes importants et une multitude de thèmes moindres, abordés à travers certains personnages ou à travers une relation entre certains d'entre eux.
Le thème de la solidarité de plusieurs êtres libres face à la quête du pouvoir d'un seul qui asservis les autres ne me laisse bien entendu pas indifférente.
Mais je suis particulièrement touchée par le thème du respect de la nature.
-Les hobbits sont proches d'elle et d'une vie simple et particulièrement Sam, en tant que jardinier.
-Aragorn, en tant que rodeur, en est très proche aussi, de par sa connaissance du monde sauvage. Il en cotoie l'aspect rude, il y décele des signes que d'autres ne voient pas.
-Gandalf en est proche de par sa nature même d'Istaridans un sens large ou la vie de l'être vivant lui-même y trouve sa place et de plus il possède la maîtrise du feu.
-Et Radagast, l'autre Istari cité, est l'ami des animaux et c'est un personnage positif, car lui-même abusé par Sarouman et non pas traitre comme l'a craint Gandalf un court instant
-Legolas est l'amoureux des bois et sont lien à eux est étroit et plus tard de l'océan.
-Même Gimli, de cette race des nains qui transforment la pierre est touché par elle à travers la beauté des grottes du gouffre du Helm.
-Le peuple des elfes vie en constantes harmonie avec elle.
-Le peuple des Rohirim, en est proche à travers leur amour pour les chevaux, et à travers leur vie la splendide rudesse de leur région et de climat.
-Le peuple des aigles est un peuples positif dont l'aide est précieuse : c'est la majesté de leur race, liée aux somets et aux vent.
-Et si on la sent moins dans la ville de Minas Tirith, l'amour de la nature est malgrés tout présente en Faramir et les rôdeurs d'Ithilien qui se battent pour préserver se qui est bon face à la force destructrice particulierement présente dans cette région.
-Et ce symobole est particulièrement présent, bien evidemment dans la vieille forêt où les arbres sont en colère, face à la destruction des leurs. Et Tom Bombadil ( ainsi que Baie d'or ) est un digne représentant de l'harmonie qu'il peut exister avec elle, d'une vie en symbiose avec elle.
et également particulièrement forte à Fangorn et en Sylvebarde et ses amis les ents. La nature est sans âge et ils en font partie.
La nature est présente à chaque instant !
Face à ça, il y a la destruction massive de la forêt par Sarouman et de ses orcs pour les besoin de ses fourneaux, la nature qui recule face à l'avencée de l'industrie, ou pire encore : sans raison.
Et enfin, le modor paysage absolument mort et désolé, au abord duquel les seuls souvenirs de nature sont quelques horrible buissons d'épineux qui lacèrent tout et quelques gouttes de pluie qui sont venues se perdre là et ont aussi perdu leur pureté : tout y est dénaturé !!!
Et les être corrompus eux même n'ont plus rien de naturel : un bel exemple est la monture morte ailée du Roi-Sorcier qui pue lorsqu'elle est brulée et à cet endroit plus rien ne poussera plus jamais.
Dans le film, ( à part labsence de Tom Bombadil et Radagast ) tout est présent soit de manière évidente à travers le grand thème de la foret de Fangorn, Soit par une multitude de petites choses dont certaine sont à peine évoquées par un plan présent pour ceux qui ont lu le livre et reconnaîtrons avec plaisir : comme par exemple : le scintillement des mur de la grotte dans le gouffre de Helm.
Les hobbits dés le débart, sont montrés comme un peuple de campagnards simples étroitement liés à leur terre.
Le lien des elphes à la nature est représentée dans leur architecteurs toute en finesse et en motifs floraux
Le lien des Rohirims à leur cheveux est lui aussi très présent dans motifs décoratifs.
Grand-pas entrainent les hobbit d'un pas sur dans les contrée sauvage et plus tard, il est un pisteur hors-pair
Une foule d'élèments sont présents pour exprimer toutes ces choses et surtout, une recherche toute particulière au niveau des plans d'ensemble qui nous montre une nature riche et variée tel qu'elle est largement décrite dans le livre.
Et bien évidemment le grand thème de l'industrie y est particulièrement mis en valeur : puisque PJ à pris garde de mettre ce mot même dans la bouche de Sarouman et lorsqu'on voit les arbres sauvagement arrachés, j'ai pris plaisir à me dire : "grosse erreur !

: la vengeance des arbres sera terrible." Et il n'a pas manqué de nous offrir ce plaisir dans le second film : surtout dans la version longue.
Le non respect de la nature et la destruction massive des forêt est encore d'actualité, malheureusement !
( Mais où est donc Sylvebarbe ! ? )