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Le Seigneur des Anneaux / Re : Réflexion sur le bien/mal et livre/film
« le: 19 mars, 2006, 14:39:08 »
Je suis en grande partie d'accord avec Eleglin. Nous sommes loin d'une version manichéenne du bien et du mal dans l'oeuvre de Tolkien.
Tous ont leurs points forts et leurs faiblesses. Ils peuvent prendre de bonnes décisions ou de mauvaises, ce qui les entraînera d'un côté ou de l'autre. Quelque soit le chemin que les personnages choisissent de prendre, la rédemption est toujours possible.
Ainsi, comme Eleglin l'a justement fait remarquer, Sauron n'a pas été créé "méchant", il a simplement décidé de suivre Morgoth.
On peut dire la même chose de Saroumane.
On voit également qu'il n'y a pas de réèlle limite entre le bien et le mal dans le cas bien marqué de Boromir: il part avec de bonnes intentions (défendre son peuple) mais avec un mauvais jugement (en croyant que l'anneau peut être capable de l'aider). Il devient donc "méchant" en voulant prendre l'anneau à Frodon mais se rend vite compte de son erreur en retournant du côté des "gentils".
Gandalf lui-même aurait pû choisir (et a été tenté de le faire) de prendre l'anneau et de l'utiliser mais il n'en a rien fait.
Quant à Gollum, je pense, au contraire d'Eleglin, qu'il y a bien eu un moment où il redevenait le "bon Sméagol" jusqu'à ce que Sam le traite de sournois où, à nouveau, il a changé et est redevnu Gollum le meurtrier.
Bref, comme le disait Eleglin, il n'y a pas vraiment de Super Méchant ou d'adorables gentils. Tous peuvent mettre le pied de travers à un moment ou un autre. Rien n'est ni tout noir ni tout blanc dans l'oeuvre de Tolkien.
Tous ont leurs points forts et leurs faiblesses. Ils peuvent prendre de bonnes décisions ou de mauvaises, ce qui les entraînera d'un côté ou de l'autre. Quelque soit le chemin que les personnages choisissent de prendre, la rédemption est toujours possible.
Ainsi, comme Eleglin l'a justement fait remarquer, Sauron n'a pas été créé "méchant", il a simplement décidé de suivre Morgoth.
On peut dire la même chose de Saroumane.
On voit également qu'il n'y a pas de réèlle limite entre le bien et le mal dans le cas bien marqué de Boromir: il part avec de bonnes intentions (défendre son peuple) mais avec un mauvais jugement (en croyant que l'anneau peut être capable de l'aider). Il devient donc "méchant" en voulant prendre l'anneau à Frodon mais se rend vite compte de son erreur en retournant du côté des "gentils".
Gandalf lui-même aurait pû choisir (et a été tenté de le faire) de prendre l'anneau et de l'utiliser mais il n'en a rien fait.
Quant à Gollum, je pense, au contraire d'Eleglin, qu'il y a bien eu un moment où il redevenait le "bon Sméagol" jusqu'à ce que Sam le traite de sournois où, à nouveau, il a changé et est redevnu Gollum le meurtrier.
Bref, comme le disait Eleglin, il n'y a pas vraiment de Super Méchant ou d'adorables gentils. Tous peuvent mettre le pied de travers à un moment ou un autre. Rien n'est ni tout noir ni tout blanc dans l'oeuvre de Tolkien.